L’excellence primée à Amou Oblo

L’excellence primée à Amou Oblo

À l’occasion de la rentrée scolaire 2020, la première effectuée dans un contexte de pandémie mondiale, le député-Maire d’Amou Oblo n’a pas manqué d’encourager le travail bien fait en primant les meilleurs élèves de sa commune.

La réussite éducative des enfants de la commune Amou 2, mais aussi leur épanouissement, figurent parmi les objectifs primordiaux de la municipalité. L’école constitue le socle du vivre ensemble dans la commune puisqu’elle est un terreau fertile sur lequel les jeunes pousses apprennent à devenir des adultes responsables et autonomes.

C’est donc une nouvelle année scolaire qui commence. Comme à l’accoutumée le Député-Maire Mey Gnassingbé a, par le biais de sa commune, offert plus de 130 kits scolaires aux cinq (5) premiers de chaque centre d’écrit du CEPD jusqu’au BAC 2 en passant par le BEPC et le BAC 1. Un geste d’encouragement à l’endroit de ces jeunes afin de les inciter à redoubler d’ardeur dans le travail et par la même occasion pousser les autres à emboiter le pas de l’excellence.

En dehors des kits composés de sacs, masques, paquets de cahiers, ensemble géométriques, stylos, crayons, gommes etc … le donateur a également pensé aux établissements en les dotant du matériel didactique de base pour un bon démarrage de l’année académique.

Cette action généreuse vient non seulement récompenser le travail bien fait des élèves mais aussi soulager les parents faisant face aux défis de la rentrée scolaire. Défis, d’autant plus poignant cette année à cause de la crise sanitaire qui a induit des difficultés économiques sérieuses. D’après le Député-maire, l’éducation des générations présentes impactera l’avenir de la nation toute entière. C’est pourquoi la question éducative est au cœur de toute l’action de la municipalité.

Il a par ailleurs exhorté les élèves à être curieux et assoiffés d’apprendre car l’école est le navire qui conduit vers des terres inconnues où l’on découvre les merveilles de la vie.

Formation : La jeunesse d’Amou Oblo subventionnée par sa commune

Formation : La jeunesse d’Amou Oblo subventionnée par sa commune

Ils sont au total cinq (05) jeunes bacheliers qui ont été sélectionnés sur la base du mérite et qui bénéficieront d’une formation à l’Institut de Formation en Alternance pour le Développement Elavagnon (IFAD Elavagnon).
Les nommés Kokouvi Apelété DAKE et Kodjo Mawuko OLAGBA pour le canton d’Amou Oblo, Matchossowè Abalo TOKI, Ama DJATE pour le canton de Kpategan et enfin Kafui Akou DJATO du canton de Ekpegnon. Ces derniers, suivant les exigences d’admission à l’institut, sont invités à effectuer le test du COVID-19 afin de démarrer l’année scolaire prévue le 02 Novembre 2020.
Cette formation, est basée sur l’approche par compétence qui consiste à transmettre à l’apprenant le savoir, le savoir faire et le savoir être. Elle outille l’apprenant afin de lui permettre d’installer sa ferme aquacole et de partager son savoir en d’autres lieux.
L’objectif est de promouvoir l’insertion professionnelle de la jeunesse par la fusion du système éducatif et des professionnels en vue de concrétiser la formation des jeunes aux métiers de la vie.

Rappelons que l’IFAD Aquaculture, le premier de la dizaine prévue, se situe dans le village de Landa, à Elavagnon dans la préfecture de l’Est-Mono. Il s’étend sur plus de 70 hectares. En son sein, se trouve un campus numérisé et connecté, et une ferme d’exploitation.

– Campus numérisé et connecté

Le campus est le lieu où se déroule les cours d’enseignements généraux. Il se compose :

  • d’une administration et pédagogie renfermant les salles de cours et les bureaux, une grande salle de conférence, un centre ressources, une infirmerie etc.
  • d’un restaurant
  • d’un internat

– Ferme d’exploitation

La ferme d’exploitation, en plus d’être un espace équipé pour la pratique des techniques et gestes techniques, dispose de planification de développement (business plan). Elle se compose :

  • d’une écloserie
  • d’une unité de transformation
  • de bassins de grossissement
  • d’étangs
  • et d’un grand barrage de 3 hectares

 

Un centre moderne de lecture et d’animation culturelle à Amou Oblo

Un centre moderne de lecture et d’animation culturelle à Amou Oblo

La commune d’Amou Oblo disposera bientôt d’un Centre de Lecture et d’Animation Culturelle (CLAC). Cet ambitieux projet vient d’être lancé par les premiers responsables de cette commune en présence du Secrétaire Général de la Commission Nationale de la Francophonie, M. Kodjo Cyriaque NOUSSOUGLO.

La mairie d’Amou Oblo aborde le volet cognitif et ludique inscrit dans l’axe1 de son plan stratégique de développement. En effet les populations de la commune d’amou2  bénéficieront  d’un Centre de Lecture et d’Animation Culturelle de pointe dont la première pierre a été posée ce lundi.

L’adjoint au maire, représentant le député-maire M. Mey Gnassingbé, a dans son discours de lancement rendu grâce à Dieu et souhaité la bienvenue à toute l’assistance parmi laquelle les autorités politiques, traditionnelles et religieuses sans oublier la vaillante population d’Amou Oblo et les partenaires techniques et financiers à qui Il n’a pas manqué d’exprimer toute sa gratitude et sans qui ce projet ne verrait pas le jour.

La Francophonie initiateur des CLAC soutiendra l’initiative de la commune en fournissant plus de 70 000 000 F d’équipements pour le fonctionnement du centre. Le Bâtiment dont la première pierre a été posée sera quant à lui entièrement financé par la commune qui a pour cela bénéficié du soutien des partenaires tels que la BOAD ou encore Togo Terminal Logistics.

Il s’agit ici d’un outil de développement à la base, un instrument de développement participatif. Il sera doté de tablettes numériques équipées de logiciel permettant aux personnes ne disposant pas d’accès à Internet d’accéder à des contenus  pré-téléchargés. Une véritable bibliothèque numérique qui propose plus d’un million de références en ligne dont 650.000 livres, des journaux et documents divers.

Dans son allocution, le régent du canton d’Amou Oblo a convié toute la population à concourir à la réussite dudit projet et a au nom de la population remercié le Député-Maire qui fait de l’émancipation d’Amou Oblo sa priorité.

Le secrétaire général de la commission nationale de la Francophonie M. Kodjo Cyriaque NOUSSOUGLO s’est félicité de voir pour la deuxième fois un CLAC qui sera entièrement construit au Togo et a réitéré le soutien de l’OIF à la commune d’Amou Oblo.

L’entreprenariat et l’environnement au cœur d’une formation à l’endroit des jeunes de la commune Amou2

L’entreprenariat et l’environnement au cœur d’une formation à l’endroit des jeunes de la commune Amou2

Devenir une meilleure version de soi, tel fut le thème de la formation organisée du 17 au 18 septembre 2020 par la mairie Amou2 à l’endroit des jeunes de la commune. Cette formation avait pour objectif principal de réveiller en chacun des participants l’instinct du développement personnel qui consiste à améliorer la connaissance de soi, la valorisation de ses talents et potentiels, afin de concrétiser ses rêves.

Le développement personnel étant une démarche globale de réflexion sur soi afin de réaliser ses aspirations profondes et accomplir ses projets, la commune d’Amou2 faisant d’une pierre deux coups a profité de cette formation pour subventionner deux autres activités à la fois génératrices de revenus et écologiques. Il s’agit donc de la réalisation de fosses septiques “Bio-fil” non vidangeables et de la fabrication de charbons écologiques.

De nos jours, les fosses septiques “Bio-fil” non vidangeables sont très sollicités de par sa gestion durable des résidus et la réduction du coût et de l’espace requis pour son installation. C’est un système qui empêche automatiquement les organismes de propager les maladies, parce qu’il n’y a pas d’accumulation de boue ni d’odeur. Le coût de l’installation est quatre fois inférieur aux frais de construction d’une fosse classique et il requiert très peu d’espace;

En ce qui concerne le charbon écologique, il est fabriqué à partir des ordures ménagères et agricoles biodégradables. Ce charbon remplace le bois comme source d’énergie et contribue ainsi à la lutte contre la déforestation. Il présente de nombreux avantages : il ne noircit pas les marmites, ne fume pas (absence de risque de cataracte et de problèmes pulmonaires pour les utilisateurs) et ne pollue pas l’environnement (non émission de CO2).

L’objectif de cette formation est d’inciter les jeunes à l’auto entreprenariat, aux activités génératrices de revenus et à la protection de l’environnement.

Pour la commune, il est important de préparer la jeunesse à entreprendre et à réaliser de nouveaux projets pour le développement de la commune.

L’écosystème forestier, une préoccupation des responsables de la commune Amou 2

L’écosystème forestier, une préoccupation des responsables de la commune Amou 2

L’arbre est un producteur d’oxygène, un purificateur d’air et une source de vie. Planter un arbre, c’est poser un acte vital. Les responsables de la commune Amou2 se sont prêtés à l’exercice en procédant ce 19 Août dernier au reboisement de 16 hectares du domaine communal situé à Piteyou-copé (Assogba Copé).

Au Togo, on observe une dégradation continue de l’écosystème forestier qui malheureusement impacte négativement la gestion durable des terres et par conséquent, le rendement agricole. Chaque année, le pays perd 15 000 ha de forêt contre 3 000 seulement reboisés ; C’est donc un gap à combler. Face à cette situation, le reboisement est apparu comme une nécessité.

La mairie de la commune Amou 2 représentée par l’adjoint au maire, accompagné de la présidente de la commission des affaires domaniales et des agents forestiers ont entamé ce 19 Août 2020, au reboisement du domaine communal situé à Peteyou copé. Au total, près de 11.000 plants ont été mis en terre sur une superficie de 16 hectares. Les essences reboisées sont le Khaya senegalensis, Terminalia, Teck indien et le Mélina. Toutes ces essences reboisées ont été choisies pour leurs vertus.

Khaya senegalensis (caïlcédrat)
Khaya senegalensis (caïlcédrat) est une espèce d’arbres de la famille des Meliaceae, qui est également appelée « acajou du Sénégal » ou « caïlcédrat ». Appartenant à la famille des méliacées, le caïlcédrat connaît une forte utilisation dans l’ébénisterie et la pharmacopée. Son écorce est un excellent remède contre les maux de ventre, le paludisme, la régulation des menstruations et d’autres complications gynécologiques aiguës chez les femmes.

Teck indien
Le teck est un bois d’œuvre très apprécié depuis des siècles dans sa zone d’origine. Ses feuilles sont réputées diurétiques, dépuratives, stimulantes, antidysentériques et vermifuges, et servent en médecine traditionnelle à soigner l’anémie, l’asthénie, les fièvres et le paludisme, les amibiases, la bilharziose et la tuberculose. Une huile extraite des jeunes pousses servirait à soigner la gale.

Terminalia
Le Terminalia est un arbre de taille moyenne de 10 à 20 m de haut Il est utilisé pour son bois dans la menuiserie, fabrication de portes, fenêtres, escaliers, habillages et les revêtements, ainsi que les parquets. Il peut aussi intervenir dans la fabrication de charpentes. L’ameublement ordinaire est son domaine d’utilisation.

Mélina
Le Melina est un arbre qui peut atteindre une taille modérée à grande (jusqu’à 30 m pour un diamètre de 1,2 à 4 m). Son écorce se caractérise par une écorce externe recouvrant une couche chlorophyllienne, suivie d’une couche blanc jaunâtre à l’intérieur. La racine et l’écorce de l’arbre sont réputées stomachiques, galactagogues, laxatives et anthelmintiques. En médecine ayurvédique, elles sont supposées ouvrir l’appétit, être utile dans l’hallucination, les douleurs abdominales, les sensations de brûlure, les fièvres.

A travers cette campagne de reboisement, la mairie de la commune Amou 2 contribue à la mise en œuvre de du Plan National de Développement, le Cadre Stratégique d’Investissement pour la Gestion de l’Environnement et des Ressources Naturelles au Togo (CSIGERN. 2018-2022) ; la stratégie nationale de Réduction des émissions de gaz à effet de serre dues à la déforestation et la dégradation des forêts (REDD+) ; et le Programme national de reboisement (PNR, 2017-2021).

La route, un fondamental du développement

La route, un fondamental du développement

Les routes jouent un rôle fondamental dans le développement économique et social des pays, et en particulier des villes. C’est pourquoi, tous les pays développés et les pays émergents ont investi dans leurs infrastructures routières.

Il est possible de résumer leurs motivations en trois points principaux :

  • Les routes permettent le développement des échanges commerciaux et gagner en compétitivité (réduction des coûts de transport ; fluidification des activités économiques ; désenclavement des zones de production (zones rurales en particulier) en améliorant l’écoulement des marchandises vers les villes…) ;
  • Elles contribuent aux interactions entre individus, à la production de savoir et de solutions, qui créent de la croissance à long terme ;
  • Elle favorise également l’accès aux services de base (santé, éducation et emploi notamment).

En effet, les habitants de Hiheatro et de ses environs pourront bientôt circuler librement en toute sécurité sur ces pistes. Le bétonnage de la partie montagneuse de la piste Hieatro-Otadi a démarré et les travaux avancent très bien.

Ces travaux de réhabilitation entrent dans le cadre de la politique de proximité lancée par le chef de l’Etat Faure Gnassingbé qui veut doter les populations rurales d’infrastructures en vue de facilité leur quotidien.

La région des plateaux, étant montagneuse, ne facilite pas la circulation des personnes et des biens surtout en saisons pluvieuses. La population avait des difficultés à se rendre dans certaines localités du canton à cause de l’état défectueux des routes.

Mais bientôt ces souvenirs ne seront que du passé car ces pistes, dont les travaux avancent à grand pas, une fois réhabilitées, permettront à Hiheatro et ses habitants d’améliorer l’efficacité du transport routier afin de soutenir le développement socio-économique du pays, facteur non négligeable du PND.

En plus des pistes, le pont Ougbo-Ali datant de l’époque coloniale sera aussi réhabilité afin de réduire les temps et les coûts de transport des marchandises.

Le budget total de ces travaux s’élève à 500 millions de FCFA entièrement financé par l’Etat togolais.

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